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Le vaccin de la grippe porcine est lié à la paralysie

William Engdahl


Article original en anglais, Swine Flu Vaccine Linked to Paralysis, Part II: “It’s the Vaccine, Stupid!”,  publié le 8 septembre 2009.

Traduction : Madeleine Chevassus

Source: Mondialisation.ca

Une prétendue “grippe porcine” ou un “virus” H1N1 ne sont pas le danger pour les vies de nos chers petits, nos enfants, nos femmes enceintes. C’est littéralement la panique grâce à l’OMS, au CDC, au gouvernement US et à des medias serviles incapables de demander quelles sont les doses légales de toxines pour se protéger contre une maladie moins grave qu’un rhume ordinaire.
 
Les quelques détails qui ont commencé à filtrer concernant les fluides que les principales firmes pharmaceutiques veulent injecter dans nos veines, j’ai commencé à en parler dès l’émergence de la grippe porcine du côté de l’usine de porcs à Veracruz au Mexique.
 
La déclaration de l’OMS de “pandémie de niveau 6”, urgence globale de santé, fut une décision politique sans rapport réel avec une “menace virale”. Par contre il s’agissait d’une opération injectant plusieurs milliards de dollars de profits dans les coffres-forts d’une poignée de méga multinationales des vaccins - GlaxoSmithKline, Roche (Gilead Science Inc), Baxter Labs, Novartis,  Sanofi Pasteur et quelques autres géants des médicaments -.
 
De plus, les différents propagateurs de la campagne de peur de l’OMS, l’ Institut allemand Robert Koch, le CDC du gouvernement US, sont sujets à caution car leur préoccupation n’est pas la sauvegarde de la santé publique, mais plutôt un projet à long terme de contrôle des populations à travers des méthodes délibérées pour les rendre malades, faibles, partiellement paralysées ou en tout cas trop faibles pour réagir à la crise sociale objective que nous affrontons, la destruction complète du système basé sur le dollar. Pour quelle autre raison les gouvernements respectifs des Etats-Unis, de la République Fédérale d’Allemagne, de Grande-Bretagne et de France avaleraient-ils un tel canular sur la santé ?
 
Une simple recherche effectuée par un lycéen dans les sources de l’OMS et/ou gouvernementales peut le démontrer. Si vous en doutez, donnez un peu d’argent de poche à vos ados pour qu’ils prouvent, en n’utilisant que les sources officielles publiées sur Internet qu’il n’y a pas de raison sensée – de santé publique – de déclarer des mesures spéciales, pas de raison qui justifie le développement en catastrophe de nouveaux vaccins, non testés, pour les injecter massivement à la population.
 
Dites leur que l’élève qui fera le meilleur argumentaire à partir des sources officielles aura droit aux honneurs de la classe.
 

Un rapport Britannique sur les effets neurologiques du vaccin

Selon une lettre confidentielle d’avertissement du 29 juillet 2009, dont une copie parvint au quotidien anglais Daily Mail, l’Agence de Protection de la Santé du gouvernement britannique, Prof. Elizabeth Miller, à la tête du Département d’Immunologie, prévint les neurologues britanniques que le vaccin de la grippe porcine – qui fut brièvement utilisé dans une vaccination de masse en 1976 aux USA, jusqu’à ce qu’il soit brutalement retiré à cause de ses effets secondaires dangereux – est lié au syndrome de Guillain-Barré (GBS), un destructeur du système nerveux central, menant à la paralysie et même à la mort. Le syndrome attaque la gaine des nerfs, causant la paralysie et l’impossibilité de respirer, et peut être fatal. Il peut causer la paralysie des muscles respiratoires, causant la mort par suffocation.

La lettre de mise en garde du Prof. Miller précise :“Il fut prouvé que les vaccins utilisés pour combattre une grippe porcine à venir en 1976 étaient liés au GBS et ils furent retirés du marché". Ce scandale de la grippe porcine de 1976 obligea le gouvernement US à payer des millions de dollars de dédommagements aux victimes du GBS qui avaient reçu le vaccin.

Le gouvernement britannique prévoit de vacciner 13 millions de citoyens britanniques dès début octobre avec des vaccins H1N1 quasiment non testés. L’unité britannique de surveillance neurologique (BNSU), qui fait partie de l’ Association Britannique des Neurologues, a été invitée à surveiller de près tous les cas de GBS pendant la mise en route des vaccinations. Un neurologue senior a dit en aparté à la presse: “Je ne voudrais pas avoir la piqûre de la grippe porcine à cause du risque de GBS”.

D'après certaines informations, la lettre de Miller fut envoyée à 600 neurologues britanniques le 29 juillet, signe d’une préoccupation au plus haut niveau, du fait que le vaccin lui-même pourrait causer des complications sérieuses.

La lettre fait remarquer, à propos du même processus de vaccination contre la grippe porcine aux USA en 1976, que “plus de gens moururent de la vaccination que de la grippe porcine elle-même; environ 500 cas de GBS furent identifiés; les vaccins peuvent avoir multiplié par 800%  le risque de GBS; les vaccins américains furent retirés après seulement 10 semaines  quand les scientifiques officiels finirent par confirmer le lien avec le GBS ; le gouvernement US dût payer 10 millions de dollars aux victimes. La surveillance a duré des jours, on collecta les symptômes de GBS chez ceux qui avaient été immunisés et 25 personnes moururent, ne pouvant plus respirer des suites d’une paralysie sérieuse. Une personne sur 80 000 fut touchée. Par contre, une seule personne mourut de grippe porcine. ”

Remarque importante: l’administration Obama a émis une règle particulière exemptant de toute poursuite judiciaire les industriels du vaccin. Le plus inquiétant dans ce contexte, c’est le fait que les nouveaux vaccins n’ont pas été suffisamment testés et que les conséquences sont inconnues, surtout sur les enfants. Cependant les petits enfants et les femmes enceintes seront vaccinés en priorité selon les directives de l’OMS. 

Cependant, comme les épidemiologistes européens les plus influents le confirment en privé, les effets de la dénommée grippe A H1N1 ou grippe porcine sont pour le moment très légers, comme un rhume ordinaire, et disparaissent avec quelques jours de repos au lit. Le CDC et les autres agences de santé durent l’admettre : les décès ont tous eu lieu chez des patients qui avaient déjà de très sérieux problèmes respiratoires ou autres maladies graves, et on n’a jamais pu prouver qu’ils étaient causés par la grippe porcine. Il s’agissait de décès  « opportunistes » c'est-à-dire de “coïncidences » et il n’y avait pas de cause à effet.

En fait, le GBS dont on croit qu’il est lié aux adjuvants présents dans les nouveaux vaccins, peut causer la paralysie et la mort. Une femme, Hilary Wilkinson, fut atteinte du GBS et devait être nourrie par goutte-à-goutte, tout en ayant besoin d’une trachéotomie rien que pour respirer. Il lui fallut 3 mois pour réapprendre à marcher et à parler. Elle déclare aujourd’hui, à propos de la grippe porcine : « Ca me rend méfiante que le gouvernement lance cette campagne de vaccination sans avoir une idée précise du risque GBS. Je ne souhaiterais cette maladie à personne. »

Une augmentation de 800 % du risque de GBS

Une autre lettre met en garde contre le vaccin de la grippe porcine; elle vient de l’association des neurologues britanniques et est signée par le Dr. Rustam Al-Shahi Salman et le Professeur Patrick Chinnery; elle dit : "Suite au programme de vaccination de 1976 contre la grippe porcine aux Etats-Unis, une étude rétrospective a montré une possibilité de multiplication par 8 de l’incidence du GBS". C’est du 800% après la vaccination de 40 millions d’Américains sur une « alerte sanitaire» équivalente, avant qu’on arrête tout brusquement. La campagne de vaccination de masse de 1976 fut abandonnée après que des centaines de cas de GBS furent diagnostiqués, et 25 décès.

Un programme de vaccination d’urgence était soutenu par le Président Gerald Ford cette année-là parce que le patron du CDC (Center for Disease Control), le Dr. David Sencer, avait convaincu la Maison Blanche que la souche de la grippe porcine était la même que celle ayant causé la pandémie de 1918-19, qui selon lui a tué un demi million d’Américains et 20 millions de gens au niveau mondial. Sencer fut écarté et dut démissionner quelques mois plus tard. La campagne hystérique du CDC et de l’OMS actuels sur « la grippe A H1N1 et la grippe porcine » ont beaucoup de points communs avec celle de 1976.

Selon le docteur britannique Tom Jefferson, coordinateur de la section des vaccins of the de l’influent cercle Cochrane Collaboration, un groupe anglais indépendant qui contrôle la recherche pharmaceutique, “Les nouveaux vaccins ne se conduisent jamais comme on l’aurait supposé. Il se peut qu’il y ait un lien avec le GBS, une affection que je ne souhaite à personne. Mais il se pourrait que ce ne soit plus lié au hasard, car un des additifs au vaccin est une substance nommée  squalène, et aucune des études que nous avons compulsées n’en fait mention.” Le squalène, une enzyme existant naturellement, pourrait potentiellement causer des effets secondaires aujourd’hui inconnus.
 
En d’autres termes, la nouvelle version de vaccin pour la grippe porcine H1N1, est un cocktail non testé et potentiellement dangereux de produits chimiques et de fragments viraux qui pourraient vraisemblablement être liés à des dégâts neurologiques très importants, ou pire.
 
Les médecins et scientifiques tirent la sonnette d’alarme sur ces dangereux effets secondaires neurologiques parce que le gouvernement ne le fait pas. Les gouvernements et les compagnies pharmaceutiques ne veulent pas que les gens connaissent les risques associés au vaccin, alors ils les passent sous silence. De même ils ne font pas allusion au fait surprenant que les vaccins n’ont jamais été testés sur des enfants ou des femmes enceintes, bien qu’il s’agisse des deux premiers groupes ciblés pour la vaccination. 
 
Les vaccins sont la vache à lait des profits de l’industrie pharmaceutique. Grâce aux vaccins, l’industrie pharmaceutique prépare des générations de futurs profits venant des maladies que de nombreuses études ont identifiées comme venant, ou étant amplifiées par les vaccins, comme la maladie d’Alzheimer, le cancer, l’ autisme, la maladie de Parkinson et bien d’autres.

Le porte parole pour la santé du parti conservateur britannique, Mike Penning a déclaré: “La dernière chose que nous voulons, c’est l’échange de lettres secrètes autour des experts du NHS (National Health Service). Notre tâche est d’être sûrs que le public sache ce qui se passe. Pourquoi le gouvernement n’y est –il pas favorable? C’est aussi très inquiétant que les médecins sensés administrer le vaccin ne soient pas au courant.”