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•> Interview du Dr Matthias Rath. Avril 2003

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Une Europe par le peuple et pour le peuple

A bas la dictature du cartel chimique et pharmaceutique

sur nous et sur nos enfants

Docteur Matthias Rath

Source: Dr. Rath Health Foundation

J’ai partagé avec vous, chers lecteurs, mon analyse de la situation politique mondiale actuelle et ses conséquences sur notre travail. J’ai donné à cet article le titre "La secte d’Icare" et ai appelé par leur nom la poignée d’individus qui tirent les ficelles, pillent notre planète depuis des décennies et sacrifient la santé et la vie de milliards d’individus sur l’autel des intérêts du cartel pharmaceutique et pétrolier.

« Icare », qui a donné son nom à la secte, est un personnage de la mythologie grecque. L’orgueilleux Icare essaya de voler toujours plus haut avec des ailes en cire. Toutefois, le soleil fit finalement fondre la cire de ses ailes et il chuta. C’est précisément le destin de la secte d’Icare aujourd’hui, c’est-à-dire des groupes d’intérêts qui considèrent depuis des décennies la santé, l’alimentation et les besoins énergétiques de l’humanité tout entière comme leur monopole et qui, pour le conserver, plongent notre planète dans les guerres, épidémies, famines et crises économiques. Le soleil, qui éclaire les opérations frauduleuses (qui se chiffrent en milliards de dollars) de cette secte (en premier lieu les affaires pharmaceutiques et pétrolières), la fera inévitablement chuter. Vous pouvez également lire l’article sur la page Internet.

Aujourd’hui, six mois après avoir démasqué la secte d'Icare, il est temps d'examiner de près les autres agissements de cette secte, notamment dans le cadre de « l’UE de Bruxelles », qui souhaite faire de la secte sa nouvelle « cachette » mondiale dans un but précis. Naturellement, seuls quelques aspects peuvent être abordés ici à titre d’exemple (mais ils suffisent à se forger une opinion définitive).

Les ailes de la secte d’Icare fondent

Cette secte a tellement pignon sur rue qu’un enfant de 14 ans comprendrait le phénomène. Pendant des décennies, la secte d’Icare, aussi parasitaire qu’un ulcère cancéreux, a exploité l’humanité via des opérations frauduleuses qui se chiffrent en milliards. L’escroquerie mondiale organisée dans le domaine de l’énergie (industrie pétrolière), des maladies (industrie pharmaceutique) et de l’alimentation (aliments génétiquement modifiés) concerne inévitablement toute vie et toute famille sur cette planète.

L’escroquerie des combustibles fossiles est démasquée

Pendant près de 100 ans, les membres de la secte ont essayé de faire croire aux populations que l’usage de combustibles fossiles, c’est-à-dire de pétrole et de gaz, était indispensable pour l’approvisionnement en énergie. L'exploration de l'espace a commencé il y a cinquante ans. Elle a depuis longtemps permis de découvrir des alternatives. Il y a quarante ans déjà, les premiers hommes allaient sur la Lune, propulsés par de l’hydrogène (c’est-à-dire une énergie issue de l’eau !). Toutefois, la secte d’Icare a tout fait pour cacher aux habitants de la Terre que ce même hydrogène peut propulser des automobiles, alimenter des usines et les transports en commun en électricité, chauffer des millions de logements dans les villes, voire irriguer les déserts. La raison de cette omerta est simple : l’énergie issue de l’eau est presque gratuite. Elle prive l’investissement de l’industrie pétrolière de tout fondement et annule donc le profit issu de la vente d’un produit devenu plus cher que le lait, la limonade et la bière.

La secte d’Icare le savait : tant que le savoir relatif à l’énergie issue de l’hydrogène (et d’autres précieuses sources d’énergie renouvelable) ne s’ébruitait pas, les individus seraient prêts à s’acquitter de leurs tributs envers le cartel pétrolier aux pompes à essence. Le jour où circulerait l’information selon laquelle les voitures, les camions, les motos, les trains, les avions et les bateaux peuvent fonctionner à l’eau pour une infime portion des coûts, ce jour-là marquerait la fin du cartel pétrolier et de ses hommes de main : la secte d’Icare. Cette année, le rideau de camouflage dans le domaine de l’approvisionnement énergétique s’est enfin déchiré en lambeaux avec la production en série de la première voiture à hydrogène.

Inutile d'être titulaire d'un doctorat en politique ou en économie pour comprendre les conséquences politiques de ce développement pour les membres de la secte d’Icare en poste à la Maison Blanche de Washington, à la Chancellerie fédérale de Berlin, au palais de l’Élysée de Paris et au 10, Downing Street de Londres. Ils savent qu’ils ne peuvent maintenir le contrôle sur plus de 6 milliards d'individus que tant qu’ils prennent l’humanité tout entière pour une imbécile et peuvent la maintenir dans une dépendance économique. Ils ne pouvaient prêcher la « liberté et la démocratie » que dans ce contexte.

Toutefois, maintenant que des millions d’individus découvrent qu’ils se sont fait avoir pendant des décennies par les opérations frauduleuses du cartel pétrolier (qui se chiffrent en plusieurs milliards), les hommes de main de la secte d’Icare ont des sueurs d’angoisse sur le front. Tous savent que la pérennité de ces escroqueries, qui ont conduit des millions de familles, d’entreprises et d’États tout entiers à la ruine économique ne peut continuer à exister dans le cadre d’une démocratie. La secte d’Icare sait qu’elle a besoin d’une dictature mondiale – pour le meilleur et pour le pire !

Le « commerce frauduleux de la maladie » de la « secte d’Icare » est démasqué

Il en va de même pour la deuxième escroquerie (qui se chiffre également en milliards) de la secte d'Icare : les affaires pharmaceutiques ayant trait aux maladies. Pendant près d'un siècle, les disciples d'Icare ont répandu dans la sphère politique, dans les médias et dans les milieux médicaux la légende selon laquelle l’industrie pharmaceutique visait à écarter les maladies. Aujourd’hui, des millions d’individus dans le monde savent qu'il en est tout autrement : la pérennité et la diffusion des maladies constituent le fondement existentiel d’une industrie pharmaceutique sans scrupule.

Non seulement la secte d’Icare s’enrichit sur la maladie et la mort de centaines de millions d’individus, mais elle se permet en outre d’extorquer des tributs pour cela (à hauteur d’un quart de chaque revenu familial en moyenne). Depuis des décennies, on dissimule donc également aux peuples les véritables causes du cancer, des maladies cardio-vasculaires et des déficiences immunitaires, tout comme le fait que des procédés biologiques dépourvus d’effets indésirables et scientifiquement prouvés existent depuis longtemps pour lutter efficacement contre ces maladies !

La campagne de propagande pour la soi-disant vaccination contre le cancer de l’utérus prouve à quel point la secte d’Icare et ses hommes de main sont également mouillés jusqu’au cou dans ce domaine.

Quand, dans le monde entier, les hommes commenceront à comprendre que la principale incidence de la chimiothérapie hautement toxique, propagée pendant des décennies, est l’apparition d’encore plus de cancers (et ainsi la création d’autres débouchés pharmaceutiques), la secte d’Icare devra s’attendre à devoir rendre des comptes sur cette duperie organisée devant les tribunaux nationaux et internationaux. Comme un naufragé à une branche, on se cramponne donc à de soi-disant nouvelles méthodes thérapeutiques telles que la « vaccination » contre le cancer de l’utérus. Les médecins, les caisses d’assurance maladie, les médias et les politiciens ont été mobilisés ; on leur a même attribué le prix Nobel. Et aujourd’hui, il s’avère qu’une gigantesque campagne d’intimidation pousse des millions de jeunes filles (et leurs parents) à administrer des vaccins génétiquement modifiés dont les promesses de guérison ne sont étayées par aucune étude de longue durée sérieuse et qui présentent des risques considérables, pouvant aller jusqu’à la mort. (Lire également à ce propos le compte-rendu supplémentaire inclus dans ce numéro.)

Les conséquences politiques de la découverte de cette escroquerie sur la maladie de millions de personnes sont également inévitables : une branche industrielle qui a pour fondement la propagation des maladies n’est pas compatible avec une forme de gouvernement démocratique. Personne ne se soumettrait volontairement à un tel système. Une fois encore : l’effondrement de la montagne de mensonges qui entoure les affaires pharmaceutiques sur la maladie oblige la secte d’Icare à préparer la poursuite de ses opérations frauduleuses mondiales dans le cadre d’une dictature économique internationale.

"L’UE de Bruxelles" : la tête de pont d’une dictature mondiale programmée

À votre avis, pourquoi les habitants des pays membres de l’UE se voient-ils refuser le droit de vote démocratique sur la plate-forme politique de « l'UE de Bruxelles » ? À votre avis, qu’a donc Nicolas Sarkozy dans la tête quand il encourage, sous prétexte de lutter contre les problèmes économiques, l’édification d’un « Global Economic Government », c’est-à-dire de facto un « gouvernement mondial » ?

Au moyen d’une campagne de propagande sans égal, la secte d’Icare essaie en ce moment d’ériger « l’UE de Bruxelles » en tête de pont pour l’édification de cette dictature mondiale, qui doit garantir la pérennité de l’industrie pétrolière. Les buts, les méthodes et même le plan de construction qui doivent permettre la domination de « l’UE de Bruxelles » sur les peuples européens sont une copie conforme des précédentes tentatives avortées de prise de pouvoir du cartel en Europe.

La première tentative d’asservissement de l’Europe par la secte d’Icare

Au cours du siècle précédent, la secte d'Icare a déjà tenté par deux fois de s’octroyer la domination mondiale sur tous les secteurs économiques et sociaux tels que la chimie, le pétrole et la pharmacie. Entre 1914 et 1918, BAYER, HOECHST et BASF engagent l’empereur Guillaume II de Hohenzollern pour attaquer l’Europe et, en définitive, contrôler le marché mondial de la chimie, du pétrole et de la pharmacie. Les directeurs du cartel promettent à Guillaume que la guerre sera terminée pour Noël 1914 et BAYER, le groupe sectaire, fournit des tonnes d’explosifs et de gaz toxiques pour « convaincre » les Français, les Belges et autres nations mécontentes de la nécessité d’une union économique européenne sous l'égide de BAYER, HOECHST et BASF.

L’asservissement militaire de l’Europe sous la domination du cartel chimique et pharmaceutique échoue et les instigateurs doivent capituler en 1918. Dans toute l’Europe, des millions d'individus ont payé les pots cassés, mais les véritables criminels (les membres de la secte dans les étages de la direction des groupes chimiques et pharmaceutiques) n’ont jamais eu à répondre de leurs actes.

En Europe, des millions d’individus (qui ont dû se battre pour avoir la vie sauve après la Première Guerre mondiale) ont omis de porter les fauteurs de guerre de la secte d’Icare à la connaissance du grand public et de leur demander des comptes. S’ils l’avaient fait à l’époque, les autres tragédies du 20ème siècle nous auraient été épargnées et nous n’aurions jamais dû écrire cet article. Cependant, ce ne fut pas le cas et la secte d’Icare a naturellement interprété cela comme une invitation à réessayer.

La deuxième tentative d’asservissement de l’Europe par la secte d’Icare.

En 1925 déjà, soit sept ans seulement après la catastrophe de la Première Guerre mondiale qu’ils ont provoquée, BAYER, BASF et HOECHST se regroupent au sein du tristement célèbre cartel IG-Farben. La prise de pouvoir des nazis est financée dans le but bien précis de faire un nouvel essai de campagne militaire, cette fois-ci pour conquérir l'ensemble du marché mondial de la chimie et de la pharmacie. Hitler est intronisé gourou de la secte. Les objectifs commerciaux de la maison-mère de IG Farben à Francfort se reflètent dans le slogan de ses « collaborateurs externes », les sbires des SA (Section d’Assaut), des SS et de la Wehrmacht nazie : « Aujourd’hui, l’Allemagne nous appartient. Demain, le monde entier sera à nous ! »

Cette tentative de la secte de s’installer en tant que maîtres du monde dans un « règne millénaire » se solde également par un échec. Un tribunal international, le tribunal militaire de Nuremberg, est institué pour punir les criminels de guerre. Goering, Keitel et les hommes de main politiques et militaires sont condamnés au cours du premier des treize procès tenus par ce tribunal qui se tiendra sur plusieurs années. Les principaux médecins ayant réalisé pour le compte de la branche pharmaceutique de BAYER et de HOECHST les expériences inhumaines dans les camps de concentration et le programme d’extermination des handicapés sont condamnés au cours d’un autre procès.

Les principaux criminels de guerre, les directeurs du cartel IG-Farben, sont accusés lors du sixième procès de Nuremberg. Le plaidoyer final du procureur général américain Telford Taylor résume le rôle des membres de la secte d’Icare, celui des directeurs de BAYER, HOECHST et BASF, en un point central : sans IG Farben, la Deuxième Guerre mondiale n’aurait pas pu avoir lieu.

Après cette deuxième catastrophe mondiale provoquée par la secte d’Icare, les millions de personnes en Allemagne et en Europe qui se tiennent devant les tombes de leurs familles et les ruines de leurs maisons, n’ont plus la force de demander des comptes à la secte d’Icare, véritable responsable de la mort de plus de 60 millions d’individus et de la dévastation de l’Europe. Cette négligence ne tarde pas à s’avérer lourde de conséquences.

La troisième tentative d’asservissement de l’Europe par la secte d’Icare

Le tribunal international de Nuremberg condamne quelques membres de la secte tels que le directeur général de BAYER, Fritz Ter Meer, pour massacre, esclavagisme et autres crimes contre l’humanité. Cependant, il ne passe pas sa vie derrière des barreaux, les autres membres de la secte le font libérer après une courte peine de prison. Au moment opportun pour la fondation de la Communauté économique européenne (CEE), la base de l’UE actuelle fondée en 1957 à Rome, Fritz tire à nouveau les ficelles pour la troisième tentative d’asservissement de l’Europe par la secte d’Icare au profit du cartel chimique, pharmaceutique et pétrolier. Il n’est pas le seul.

Arno Sölter, membre de la secte et directeur du « Zentralen Forschungsinstituts für nationale Wirtschaftsordnung und Großraumwirtschaft » (Institut central de recherche sur le système économique et l'économie de grand espace nationaux) pendant la guerre, élabore le plan de construction de l’actuelle Union Européenne. En 1941, les sbires nazis viennent de s'emparer de l'Europe de l'Est au nom d'IG-Farben et marchent sur Paris ; la collaboration nazi/IG-Farben pour l’ordre européen d’après-guerre officialise son programme d’asservissement de « l’espace européen ». Ce programme de 223 pages, publié sous le titre « Das Großraumkartell – Ein Instrument der industriellen Marktordnung im neuen Europa » (Le cartel du grand espace, – Un instrument de l’organisation du marché dans la nouvelle Europe) fournit le minutieux papier carbone pour l’UE actuelle.

Les piliers de l’ordre d’après-guerre prévu par la secte d’Icare sont les suivants :

• L’Europe est un « grand espace » unique ; un gigantesque espace économico-politique sous la domination du cartel chimique et pharmaceutique et de ses hommes de main politiques.

• Grâce à des produits de haute technologie brevetés, le cartel chimique et pharmaceutique contrôle les marchés clés et donc les artères vitales de tout l’espace économique.

• Une « autorité de cartel » centrale détient le pouvoir décisif pour l’économie, le commerce, les finances, la législation sur les brevets, etc.

• Les hommes de main politiques et militaires du cartel assoient ce pouvoir dans les pays européens en employant des méthodes dignes d’un régime policier et élargissent par la force des armes le droit au pouvoir du cartel, ses marchés des matières premières et ses débouchés.

• La fonction du peuple est limitée au rôle de consommateur soumis ; la participation est exclue, l’opposition réprimée – et la démocratie abrogée.

"L’UE de Bruxelles" est une copie du régime d’après guerre mis en place

par la coalition entre l'IG Farben et les nazis.

Nous avons mis en ligne sur Internet le plan de construction de la "nouvelle Europe" de 1941. Je recommande à tous la lecture de ce livre, et plus particulièrement aux hommes politiques qui, peut-être sans le savoir, sont en train de se faire avoir par le mensonge des gourous de la secte que sont Sarkozy, Merkel, Koch et compagnie. Celui qui lira le chapitre sur le « cartel du grand espace » et la « place centrale du cartel » déjà élaborée en détails en 1941, constatera à quel point ce « cartel » ressemble à la « Commission européenne » qui est bien loin d’opérer un contrôle démocratique et chacun sera abasourdi de constater avec quelle insolence la secte d’Icare est, sous couvert de l’« Union européenne », en train d’imposer aujourd’hui, dans le cadre de l’« UE de Bruxelles », les objectifs non atteints pendant la Seconde Guerre mondiale. Ci-dessous les éléments les plus importants de l’actuel « cartel du grand espace » de Bruxelles :

• Dans le cadre de "l’UE de Bruxelles", toutes les décisions concernant la vie de presque 500 millions de citoyens européens sont prises et imposées par une autorité de cartel, la « Commission européenne ».

• Les membres de cette "Commission" ne sont légitimés par aucun choix démocratique quel que soit l‘endroit en Europe. Au contraire, ils sont "nommés" en toute légitimité dans l’intérêt du cartel pour garantir et développer son pouvoir en Europe.

• Le Parlement européen qui doit nous être vendu lors des prétendues « élections européennes » de 2009 comme un organe de contrôle démocratique, n'exerce, de facto, aucun contrôle sur la « Commission européenne » et doit de toute façon se contenter d’approuver les lois formulées par cette dernière.

• Le plan d’après-guerre IG Farben / nazis prévoyait que le cartel pharmaco-chimique dirigerait le peuple d’Europe avec ce qu’on appelle la « législation du cartel ». Au sein de l’ « UE de Bruxelles », seul le nom a changé : on appelle maintenant cela les « Directives européennes ».

• Le plan d’après-guerre IG Farben / nazis prévoyait une loi de pleins pouvoirs, un prétendu « contrat fondamental » qui assujettit les peuples européens sur plusieurs générations à la domination du cartel pharmaco-chimique. Dans l’« UE de Bruxelles » cette loi d'autorisation porte simplement le doux nom de « Traité de Lisbonne ». Réunis à Lisbonne, capitale du Portugal, les gourous de la secte Icare, Sarkozy et Merkel, ont imposé en décembre 2007 cette loi de pleins pouvoirs malgré la forte opposition.

• Pour mettre en vigueur ces directives et lois du « grand espace européen » édictées par la coalition IG Farben / nazis, un simulacre de loi a été planifié portant le nom révélateur de « cartel du grand espace ». À cette occasion, toutes les ordonnances nécessaires à la garantie du pouvoir de la secte Icare ont dû être rendues publiques. Les disciples icariens au sein de l'UE de Bruxelles ont simplement eu besoin de changer de nom, ils s’appellent désormais « Official Journal of the EU ». Selon l’idée de l’ « UE de Bruxelles », les lois publiées dans cette farce doivent être imposées aux peuples de toute l'Europe. Lors de la rédaction de ces lois et directives de cartel, les citoyens d'Europe n'ont pas eu le moindre droit à la parole. Aucune trace de démocratie !

• La secte d’Icare et ses médias ont tenté de refiler la « loi de pleins pouvoirs de Lisbonne » aux habitants de l’Europe comme une « loi fondamentale de l’Europe ». Les Européens n’ont absolument pas eu droit à un référendum sur cette « loi de pleins pouvoirs ». La secte sait pourquoi. Dans le seul pays dans lequel le peuple a pu s’exprimer, l’Irlande, cet ouvrage de basse qualité a largement été rejeté.

Pour des millions d’hommes en Europe la construction de l’ « UE de Bruxelles » apparaît depuis longtemps comme inquiétante. Beaucoup ne savaient à quoi pouvait être liée cette méfiance. En définitive, l’ensemble de la classe politique de gauche et de droite (qui a voté pour cette idée et qui la soutient), ne pouvait quand même pas avoir tort !

Avec la révélation des faits et des raisons secrètes réelles de l'« UE de Bruxelles », le fouillis est de retour. L’ « UE de Bruxelles » est démasquée pour ce qu’elle est et ce qu'elle a planifié depuis toujours : la troisième tentative de la secte d’Icare dans l'intérêt du cartel pharmaco-chimique est d'assujettir les peuples d’Europe sur plusieurs générations et de faire d’eux, de leurs enfants, petits-enfants et arrière-petits-enfants des esclaves complaisants de la consommation pour toute leur vie – sans quelconque forme de participation démocratique – et finalement de les sacrifier tels des agneaux, sans volonté pour cause de maladie, à l’abattoir du commerce pharmaceutique.

Si vous voulez de ce monde pour vos enfants et petits-enfants, vous pouvez laisser tranquillement de côté cet article. Si, au contraire, vous souhaitez un monde où vos enfants et petits-enfants peuvent vivre dans la dignité et participer à sa construction, le temps est alors venu d'agir.

Ceux qui veulent en savoir plus sur les manigances grâce auxquelles la secte d’Icare a posé les jalons de "l’UE de Bruxelles" dans les années 50 et 60 peuvent également se tourner vers Internet. Sous http://www.relay-of-life.org/speech/speech.html se trouve le discours que j’ai tenu à l’occasion de la remise de la décoration Auschwitz par les survivants des camps de concentration à la fondation du Dr Rath ; il apporte un éclairage sur les liens de comparaison.

La protection de l’ordre constitutionnel démocratique est notre mission

Nous avons déjà établi que la poursuite de la dictature de la terreur du commerce du pétrolier, des produits pharmaceutiques et des OGM n’est pas compatible avec un ordre social démocratique, dans la mesure où ceux qui connaîtraient les alternatives économiques, ne se prosterneraient plus de plein gré devant le chantage et les tributs de cette secte.

Cela nous pousse à jeter un œil autour de nous pour voir comment la secte et les médias qu’elle dirige gèrent leur chute imminente. La secte a réussi pendant des dizaines d’années à tenir l’humanité sous contrôle via les secteurs-clés de la vie comme l’énergie, la santé, la nutrition en exerçant un chantage financier et en profitant de l’ignorance généralisée. Aussi longtemps que ce contrôle fonctionnait, la secte n’en avait jamais assez de se présenter comme le protecteur de la « liberté » et de la « démocratie ». La protection du FDGO (« ordre constitutionnel libre et démocratique ») fut le cri de guerre par lequel la secte a fustigé le reste du monde comme « non-démocratique » - de la Chine jusqu’à différents pays en voie de développement en Afrique et Amérique du Sud, en passant par la Russie.

Maintenant que les hommes ont grandi et appris que le cri de guerre « liberté », « démocratie » et « FDGO » a uniquement servi pendant des décennies à masquer les agissants méprisants de la secte Icare à l’égard des hommes, cette autocongratulation dégage aujourd’hui une odeur acre de putréfaction. À l’été 2005, Angela Merkel avait déjà levé une partie du voile. Au printemps 2005 - on s’en souvient – les Français et les Néerlandais ont infligé une nette défaite aux référendums européens relatifs aux plans du cartel pour instituer une dictature sur l’UE.

En réaction à cette défaite, le cartel a réalisé, à peine quelques semaines plus tard, un putsch en Allemagne et a contraint, en mai 2005, le gouvernement Schröder à jeter l’éponge, faute de quoi « il aurait été disgracié », selon la menace de la presse du cartel.

L’élaboration du coup d’état ne s’est pas fait attendre bien longtemps. À l’occasion d’un discours de campagne électorale pour fêter les 60 ans du CDU le 5 juillet 2005, Angela Merkel – dans la plus grande naïveté – a annoncé à l’assemblée les raisons de ce putsch : « Nous [les peuples d’Allemagne / Europe] n’avons, de toute évidence et pour l’éternité, aucun droit à la démocratie et à l’économie sociale de marché. »

Nous ne partageons toutefois pas votre pensée, Angela !

La demande faite par le cartel à Merkel était claire. La dictature de l’UE de Bruxelles du cartel devait être mise en place par tous les moyens. Merkel a reçu un appui en mai 2007 lors du putsch aux méthodes SA mené par le Français Nicolas Sarkozy pour arriver au pouvoir (voir article précédent sur la secte). Si on regarde trois ans en arrière, on comprend aisément avec quelle absence de scrupule Sarkozy et Merkel ont tenté d’adapter la demande du cartel pour imposer la loi de pleins pouvoirs (Traité de Lisbonne) et parachever l’organisation du pouvoir servant la domination du cartel sur l’Europe. Ceux qui n’ont pas pris part ont été tout simplement destitués dans les pays concernés avec l’aide des médias du cartel. Ce sort a frappé le dernier gouvernement de Pologne – et il menace les gouvernements de la République tchèque et d'Irlande en 2009.

Nous, les hommes, devons savoir que nous avons pour mission de défendre l’ordre constitutionnel libre et démocratique – oui la démocratie par excellence – contre la secte d’Icare et les intérêts du cartel – y compris pour nos enfants et les générations futures !

Comprendre les relations (et faire connaître cet article à vos amis et connaissances) est une étape importante. Seul celui qui comprend l’histoire, peut empêcher qu’elle ne se répète. À cette fin, la « super année électorale » de 2009 vous offrira de nombreuses occasions.

2009 – une année clé pour la secte d’Icare et ses plans "d’UE de Bruxelles"

Le plan du cartel pour 2009 présente plusieurs facettes mais son objectif est d’une simplicité sidérante à comprendre pour tout un chacun : 2009 doit sceller définitivement la construction de l’« UE de Bruxelles » avec le cartel comme tête de pont, afin de pouvoir enfin imposer ses plans de domination mondiale qui ont déjà échoué par deux fois. Sous la menace nucléaire de la France, les pays européens du bassin méditerranéen doivent sceller une alliance politico-militaire avec les états africains déterminants. Grâce à cette « stratégie axiale » (et le stock d’uranium d’Afrique centrale qui en découle), le combat mondial pour sauver la secte et la domination mondiale du cartel est en marche.

Les principaux opposants à ce troisième élan du cartel vers la domination du monde sont la Russie et la Chine – et peut-être les États-Unis « en pleine révolution » grâce à leur Président Obama élu démocratiquement. Dans la mesure où il s’agit du combat pour la survie ou l'effondrement du cartel (soit tout ou rien), Sarkozy et ses complices n’excluent pas a priori, une troisième guerre mondiale. Aussi bien Sarkozy que son vizir Kouchner, n'ont jamais fait mystère de leur détermination à utiliser également des armes nucléaires. En août 2007, seulement trois mois après leur « main mise sur le pouvoir » en France, Sarkozy et Kouchner ont expliqué qu’ils pourraient mener une guerre nucléaire pour défendre leurs intérêts.

Les différents gros titres politiques de l’année 2008 donnent une image en totale adéquation :

• La manière de diriger agressive et sans scrupule de Sarkozy (et de Merkel) qui se comportent en Europe comme des Césars antiques et ne laissent voyager les autres chefs d’état et de gouvernement que pour approuver sans discussions leurs propositions, pour ensuite cuisiner à leur sauce un prétendu contrat dans une soupe de cartel et renforcer les plans de domination mondiale du cartel ;

• Le « gouvernement mondial » exigé par Sarkozy avant le sommet du G20 tenu sous la direction du pouvoir nucléaire de la France est nécessaire à l’assurance du droit au pouvoir international du cartel ;

• L’Union pour la Méditerranée proclamée par Sarkozy sans consultation des principaux chefs d'état et de gouvernement européens – avec comme frontières celles de l'époque de l'Empire romain de Jules César puis plus tard celles des conquêtes sous Mussolini et Hitler – sert l'élargissement du marché et du pouvoir du cartel ;

• Le perfectionnement de la surveillance et des méthodes d’état policier dans toute l’Europe pour garantir à long terme la domination du cartel au sein des pays européens ;
• L’intervention de l’armée au sein de l’Europecontre son propre peuple dans le cas où ce dernier voudrait s’affranchir de la domination du cartel ;

• La formation d’une armée propre sous le commandement en chef de l’ « UE de Bruxelles » – et du cartel – pour continuer à imposer, par des interventions militaires et des guerres, la conquête des marchés chimique, pharmaceutique et pétrolier ;

• La militarisation de l’espace par l’asservissement du programme satellite de l’espace européen, « Galileo » par le lobby français des armes nucléaires avec comme but de provoquer une nouvelle course aux armements, dont le moteur est l’ « UE de Bruxelles » et l’objectif principal la préservation du pouvoir du cartel.

Et ceci n’est que la partie émergée de l’iceberg.

Sarkozy doit – et je le dis solennellement – être considéré aussi dangereux que le fondateur connu à travers le monde du cartel pharmaco-chimique, Adolf Hitler. Ce sont les mêmes hommes de l’ombre, ayant tous deux pris le pouvoir, c'est la même politique de force globale et sans scrupule, la même propagande, la même démagogie destinée à exercer une manipulation psychologique sur leur propre peuple. Septante ans après l’échec de la dernière tentative de mise en œuvre d’une domination « millénaire » du cartel pharmaco-chimique en Europe, un nouvel homme politique est en marche avec le même dessin.

Son complice désigné pour le parachèvement prévu de cette troisième tentative de conquête mondiale du cartel est déjà façonné dans un but précis : Roland Koch. Il devrait prendre la place d'Angela Merkel pour la candidature à la chancellerie, et peut-être même avant les prochaines élections au Bundestag. Et ce n’est pas un hasard si Koch réside à Francfort, la ville dans laquelle se trouve le quartier général du cartel pharmaco-chimique tristement célèbre, le building de l’IG-Farben. C’est depuis là que la montée des nazis a été financée au début des années 1930, c’est là – et non à Berlin – qu’ont été élaborés les plans de conquête du monde de la Seconde Guerre mondiale et c’est là que fut échafaudée la domination de l’après-guerre par le « cartel du grand espace ».

La situation désespérée de la secte d’Icare après le choix Barack Obama

Après l’expulsion de la secte d’Icare de la Maison blanche par plus de 50 millions d’Américains lors des élections présidentielles américaines de novembre 2008 et le vote en faveur de Barack Obama – opposant déclaré à l’influence du cartel – le cartel est dans l’eau jusqu’au cou.

Sarkozy et sa secte d’Icare doivent faire échouer le gouvernement Obama s'ils veulent ne pas être emportés par une avalanche mondiale. C’est pourquoi la secte élabore différents scénarios pour atteindre cet objectif :

• Un coup politique pour faire chuter le gouvernement d’Obama avec l’aide des médias du cartel.

• Un conflit militaire imposé impliquant politiquement au niveau international le régime Obama pour l’asphyxier chez lui et le discréditer.

• Un renforcement ciblé de la crise économique au sein des Etats-Unis au travers, par exemple, de la banqueroute provoquée des groupes automobiles GM, Ford et Chrysler. C’est pour cette raison qu’il faut empêcher la production de voitures à énergie hydraulique et empêcher le monde entier de se libérer de la tyrannie pétrolière de la secte.

• Le chantage financier exercé sur le gouvernement Obama via la raréfaction des crédits internationaux. En raison de la dette extérieure considérable accumulée sous le gouvernement Bush, les Etats-Unis se trouvent déjà à la merci des créanciers internationaux. La secte d’Icare veut utiliser cette « arme ». Cet objectif est servi par deux actions, entre autres :
 
a. Le « régime mondial » proclamé par Sarkozy, et la tentative pour offrir au cartel un nouveau pouvoir « exécutif mondial » dictatorial, pouvant faire obéir à tout moment les États-Unis sous l'administration Obama – mais aussi chaque autre pays.
 
b. Le plan Sarkozy pour atteindre son but via le « G20 » – mais également via le G* et les nouveaux pays industrialisés. Sous couvert du « combat contre la crise » et derrière le masque de porte-parole, la secte cache un objectif principal : Limiter le droit de vote du gouvernement Obama au sein du Fonds Monétaire International (FMI) et d’autres institutions de crédits internationales.

Cette stratégie de sabotage du gouvernement Obama par la secte a trois objectifs principaux : afin de pouvoir poursuivre sa domination sur le monde par la terreur, la secte va tenter

• de sanctionner le peuple des Etats-Unis car il a osé refuser de donner les clés de la Maison Blanche à McCain, membre de la secte ;

• de faire tout ce qu’il faut pour empêcher que le Président Obama ne change son droit de vote pour libérer la puissance économique des Etats-Unis de la « tyrannie du pétrole » – et ainsi affranchir le monde entier de l'escroquerie de milliards de dollars organisée par le cartel pétrolier.

• de faire un exemple avec le gouvernement Obama pour empêcher que d’autres pays - dans une sorte d’effet domino – ne s’élèvent contre la tyrannie du cartel.

Jamais auparavant dans son histoire millénaire les membres de la secte d’Icare n’auront eu autant de gouttes de sueur d’angoisse sur le front qu’au début de l’année 2009. Manual Barroso, le lieutenant de terrain potelé du gourou de la secte Sarkozy a parlé, à l'occasion de la rencontre des chefs d'état et de gouvernement européens et asiatiques en octobre, de ce qui menace la secte dans son ensemble : « Soit nous nageons ensemble, soit nous coulons ! » Le spectateur non-averti pouvait avoir l’impression que Barroso parlait, à cet instant, du combat contre la crise financière. Mais la réalité est tout autre : une solution à la crise économique actuelle signifie la fin de la secte. Car ensuite, des technologies d’énergie alternatives pourraient rapidement être mises en place à l’échelle mondiale – catapultées par le virage des technologies d’énergie annoncé par le gouvernement américain.

C’est seulement si Sarkozy, Barroso et les autres membres de la secte réussissent à capitaliser sur la crise financière qu’ils ont eux-mêmes mise en scène, et à ériger une dictature de cartel mondiale, que la secte a une chance de s’en sortir. Tout craintif Barroso a d’ailleurs également évoqué le sort de la secte d’Icare – et par là même le sien.

Du point de vue de la secte Icare, l’année 2009 est comparable à l’année 1933 : Prise de pouvoir mondiale ou perte de pouvoir mondiale, escalade de la tyrannie ou naufrage personnel. Il y a des jalons décisifs à poser pour la mise en œuvre de l’« UE de Bruxelles » prévue comme plate-forme pour les plans de conquête mondiale du cartel – y compris un plan qui consiste à laisser se développer des conflits mondiaux au travers du nouveau « bureau politique » du cartel.

Certains de mes lecteurs sont peut-être surpris de la franchise de mes propos lorsque je présente les liens de comparaison. Personne ne peut vraiment s’étonner de cette évolution. Il y a plus d’un demi-siècle déjà des auteurs comme Georges Orwell dans son livre « 1984 – Big Brother (Grand frère) » nous mettaient en garde contre un régime, dans lequel les hommes politiques parlent de paix mais tout en pensant guerre, parlent de démocratie et de liberté tout en pensant dictature.

L’auteur Ray Bradbury a décrit en 1951 dans son roman d’anticipation « Fahrenheit 451 » un monde dans lequel les hommes vivent sous la « bulle des médias ». La lecture de livres est interdite par la loi et les pompiers sont là pour mettre le feu aux maisons de ceux qui enfreignent cette loi. Une des personnes concernées demande épouvantée : « Vous souvenez-vous de l’époque à laquelle les pompiers étaient là pour éteindre les feux et non les allumer ? »

Si vous entendez encore parler d’attaques terroristes dans les mois qui viennent – toujours suivies d’une intervention télévisée de la secte réclamant encore plus d’état de surveillance, d’espionnage et de réduction des droits des citoyens - vous penserez alors que personne sur la Terre ne porte plus d’intérêt à la dictature que la secte Icare elle-même. Car seule une dictature exercée sur le monde peut encore empêcher le naufrage de leurs énormes empires de milliers de milliards.

Si les peuples d’Europe se libèrent dans les années qui viennent de la domination par la terreur de la secte d’Icare, à l’image du peuple américain lors des dernières élections, alors nos enfants et petits-enfants disserteront dans les années qui viennent pendant leurs cours d’histoire sur les agissements des pyromanes de notre époque – les hommes politiques comme Bush, Sarkozy et Koch – ils repenseront à 2009, année-clé au cours de laquelle les jalons pour la fin de la domination par la terreur de la secte d’Icare ont été posés en Europe.

Une « Europe par le peuple et pour le peuple » est en marche

Notre question à chaque homme politique est très simple : Voulez-vous ou non que nos enfants grandissent en Europe au cœur d’une dictature imposée par les intérêts des cartels ?

C’est parce que nombre d’hommes politiques confrontés aux faits – ce qu’on attend d’eux – n’ont aucune idée de l’étendue de ce scandale et et qu’eux-mêmes – sans le savoir – se sont enthousiasmés face au wagon des intérêts du cartel sans scrupule, que le temps est venu d'agir.

Il est également clairement établi : aucun des hommes politiques qui, après la publication du parallèle entre l'« ordre du monde nazi » et l'« UE de Bruxelles », a continué à défendre le château de cartes de l’UE de Bruxelles comme étant une institution démocratique, ne peut survivre politiquement. Pour ce groupe politique de « casques d’acier », pensons à la phrase de Michael Gorbatchev adressée à Erich Honecker : « La vie punit celui qui arrive trop tard ! »

Nous pouvons accélérer ce « processus d’explication » en évoquant ces faits par écrit aux hommes politiques se présentant aux élections nationales et aux élections du parlement européen. Cela devrait se faire de préférence par e-mail car il serait ainsi démontré de manière irréfutable que le « représentant du peuple » savait. Il ne sera plus possible d’avoir recours à la traditionnelle excuse : « Je ne savais pas ».

Nos arguments sont clairs et immédiatement compréhensibles par quiconque : un siècle de terreur et de dévastation du continent européen par la secte d’Icare suffit, des millions de morts en deux guerres mondiales suffisent, la mort de millions de personnes victimes du « chimio-cancer » et autres commerces pharmaceutiques sans scrupule, suffit.

Il n’est pas possible que de l’autre côté de l’Atlantique les citoyens des Etats-Unis mettent fin à la domination de la secte Icare qui a duré des dizaines d’années à la Maison blanche et choisissent un Président qui proclame un régime pour les hommes par les hommes. Et que juste à ce moment-là, nous laissions les hommes de ce côté de l’Atlantique nous plonger dans le malheur avec des mensonges et l’entretien de la peur par les ratiers d'Icare, pour la troisième fois en l’espace d’un siècle.

Les peuples d’Europe ont retenu les leçons de l’histoire. Là où les racines de l’« UE de Bruxelles » ont été rendues publiques et sont vérifiables pour tout un chacun, ces plans ne peuvent plus être mis en pratique.

Le parallèle avec le mythe d’Icare est évident : le soleil – tout comme la révélation de la vérité – fait brûler les ailes de la secte devenue orgueilleuse et dont la chute est inéluctable.

Les responsables du cartel pharmaco-chimique n’ont pas été poussés à rendre des comptes après les manquements des deux guerres mondiales et leur aboutissement. Nous avons maintenant la possibilité historique, de fermer la porte aux disciples d’Icare et aux autres sbires du cartel. Je suis convaincu que les peuples d’Europe vont le faire.

Ce texte aidera les peuples d’Europe à prendre position quant à ces questions vitales. Et si nous voulons faire face aux questions de nos enfants et des générations futures, il n’y a pas d’alternative.

Laissez nous entrer, ensemble, dans une « Europe par les peuples pour les peuples ».

Et nous atteindrons ce but ensemble !

Cordialement vôtre,